Les Tables du CASP – Mai 2025

Les Tables du CASP

Nombreux sont les paroissiens et les paroissiennes de Meudon, Sèvres et Ville d’Avray qui connaissent les Tables du CASP car ils s’y investissent 3 à 4 fois par an, sous la houlette efficace et bienveillante de Florence Gras et de Marc Dubuisson qui ont pris la suite de Sylvie Odier et de Valérie Morrisson. Il s’agit d’organiser et de préparer un bon repas pour des personnes en grande précarité, de les accueillir, de les servir ou de s’asseoir à leur table pour partager avec eux un moment de convivialité dont ils ont tant besoin. C’est un service que notre diaconat propose depuis de nombreuses années, et dont Elisabeth Sabardine s’est occupé longtemps, inscrivant notre paroisse dans la chaîne des 20 paroisses de région parisienne qui organisent de tels repas.

 

Mais qui sont ces invités ? Comment sont-ils arrivés sur notre liste ? A l’origine, une bénévole du CASP (le Centre d’Action Social protestant) a eu la bonne idée de mettre en relation les personnes qui passaient à sa permanence pour y trouver une aide pour des démarches administratives ou une écoute, et des paroisses protestantes volontaires pour les accueillir à l’occasion d’un repas partagé. La liste de ces personnes s’est peu à peu diffusée et une petite équipe de bénévoles s’est constituée pour organiser le planning avec les différents responsables des repas dans les paroisses, l’envoi des invitations et l’accueil des invités aux différents repas. Certains de nos invités viennent ainsi depuis 20 ans, d’autres ont disparu, de nouveaux sont régulièrement inscrits, sans aucun critère. Ils ont plaisir à se retrouver et à retrouver les bénévoles de chaque paroisse.

 

Nos invités nous témoignent beaucoup de gratitude non seulement pour la qualité de l’accueil et du repas mais aussi et surtout pour ces moments d’échanges et de fraternité. Soyez tous remerciés pour votre bel engagement, sans même le savoir, vous faites partie des quelques 300 bénévoles du CASP, dont le slogan est « Ensemble, combattre l’inacceptable ».

Anne Mathiot

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